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Pas |
jackplacid : Nosferatu |
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Je ne suis pas grand fan de votre poème qui reste plat et rejoue avec des clichés vus et revus : Pas grand chose d'original. Et l'écriture qui n'est pas mauvaise, n'est pas non plus bonne.
Déjà, le titre, [i]Nosferatu[/i], fait écho à l'adaptation de Murnau, forcément. Je ne vois pas trop le lien avec le film [i]Nosferatu[/i] de 1922 ; je v... (21/12/2017) |
Bien ↑ |
Queribus : Je ne vous entends plus |
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Les deux premiers vers - qui en soi pourraient ne faire qu'un - résument parfaitement tout le poème, et la tragédie qui a touché Beethoven. Deux sizains - ou un alexandrin - on a d'un côté la protase " J'ai vu la nuit tomber" de l'autre l'apodose "A grands coups de silence". Le vers, paradoxalement, monte jusqu'au vers "tomber", puis redescend j... (15/12/2017) |
Bien |
Lo : Duelle |
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Odorat, goût, toucher, ouïe et le chef d'orchestre qui les ravive : le souvenir.
Je trouve intéressant, comment dans la première strophe, vous parlez de l'odeur infecte, non pas à cause de son essence, mais du souvenir qu'elle suscite.
Dans la deuxième strophe, il y a un mélange entre le goût et le toucher, et pas n'importe lequel, le touc... (13/10/2017) |
Bien ↓ |
marin : Borée |
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Bonsoir Marin,
Je trouve que votre poème est construit sans rythmique.
Des tournures qui sonnent un peu lourd, je pense à " d'un enfant pas sages [...]" ou encore "c'est autre chose qui est plus subtil [...]". Le pronom relatif "qui" n'est pas tellement nécessaire, surtout qu'il te force à réutiliser l’auxiliaire "être". Cet auxiliaire est... (12/10/2017) |
Pas ↓ |
ADN : Je t'aime au XIXe |
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Je reste dubitatif face à ce texte.
Ne connaissant pas Paris ni le parc des Buttes-Chaumont, et souffrant d'inculture, j'ai du faire une recherche Google. Donc c'est un parc qui se trouve au 19e et qui fut créé au XIXe ; je comprends un peu mieux le titre.
Pourquoi 1884 ? ou pour respecter le texte "Mille huit cent quatre-vingt-quatre". En... (9/10/2017) |
Pas |
Fred0303 : Sonnet des dieux |
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Peut-être un peu trop de clichés.
Convoquer la mythologie n'est pas un exercice aussi facile qu'il ne semble, tu mêles par exemple mythologie grecque et latine : y a-t-il un sens à cela ? On sent plutôt que le poète s'emmêle les pinceaux. Je ne vois pas non plus ce que vient faire Esculape à la fin ? La dulcinée du poète est-elle morte ? Cher... (3/10/2017) |
Bien |
Tadiou : Chagrins |
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Bel exercice linguistique et stylistique qui montre l'arbitraire des genres. Pourquoi certaines langues possèdent trois genres et d'autres deux, voire quatre ou aucun ? Pourquoi certains substantifs peuvent être masculins, féminins ou neutres en fonction de la langue ? Autant de questions qui ont certes des réponses d'ordres historique, sociolog... (24/9/2017) |
Pas ↓ |
LenineBosquet : Les temps modernes : "La grande bouffe" |
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En lisant ce poème, j'ai l'impression de voir ces sempiternels reportages en caméra caché, où on se faufile dans des usines pour nous dire : "les industriels vous mentent, vous mangez de la merde".
"Du Parkinson en masse au ghetto gériatrique
Car seul le jambon bien rose fait consensus"
j'imagine que vous devez faire référence aux maisons... (3/9/2017) |
Bien |
daphlanote : Sai( )ne |
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J'essaye d'abord de comprendre le titre : que signifient les parenthèses ? est-ce une plaie sur le mot "Saine", ce qui serait oxymorique. Ou est-ce un "G", ce qui rendrait le mot "Saine", "Saigne"... Et, c'est encore oxymorique.
Le premier distique est construit selon un parallélisme syntaxique ainsi qu'un chiasme qui met en miroir les mots e... (30/8/2017) |
Bien ↑ |
antonio : Nostalgie [Sélection GL] |
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Un beau poème au rythme maîtrisé - qui a un aspect, certes classique - et qui se lit sans lourdeurs.
L'usage de l'imparfait fait durer ces moments finis, qui pourtant sonnent éternels dans la voix du sujet lyrique. Il y a aussi, plus qu'un du regret du passé, une certaine touche de tristesse : "quand je rêvais encore" ; à croire que le poète ... (28/8/2017) |
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