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Passionnément |
Miguel : Ma quiétude |
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C'est quand revient la nuit de solitude et de désœuvrement que remontent les chagrins et les blessures, que l’esprit libéré est disponible pour ressasser la douleur qui le tenaille, quand on ôte le « masque du fort et du vainqueur » et que l’on est nu.
Et c’est le grand mérite de ce poème, par son rythme et ses mots, d’avoir su si bien trad... (10/6/2019) |
Passionnément |
Pierrotdu84 : Résolutions |
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« J’ai horreur des catégories ». Merci pour la précision : on n’aurait pas deviné.
Et l’on voudrait que l’on commente ça…
Il n’y a pas de fil conducteur…Toutes les lignes sont denses. Dès que l’on creuse une idée profonde, on est déconcentré par une phrase poétique…L’on se prend à essayer d’extraire une phrase remarquable…mais il s’en trou... (7/6/2019) |
Bien ↑ |
Anje : Chez le danseur de cordes |
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Ce poème aura eu au moins le mérite, avec l’évocation des légendaires Fenders, d’avoir remué en moi de vieux souvenirs de jeunesse.
Malgré le zèle ostensible de l’auteur à se positionner en classique, je crains que la rime sceptre-plectre soit mal considérée.
Les accords brun chamois, le parfum de carouge, , les doigts « baladi... (4/6/2019) |
Beaucoup ↓ |
Lebarde : Le chien nostalgique |
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Peut-être suis-je dans l’erreur, mais je ne peux lire ce texte sans voir le « cabot » comme un jeu de mots, comme métaphore du comédien. Ce vieux comédien, en quête d’engagements, abandonné de ses pairs, rejeté de la troupe, se souvenant de son bel « âge », où l’on avait « des égards » pour lui.
Queribus a fait des remarques techniques que je... (27/5/2019) |
Beaucoup |
senglar : Psyché et fruits de mer |
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PIN PON PIN, PIN PON PIN...vite la camisole...taux d'alcoolémie, recherche de substances interdites...
Il y a longtemps que je ne m'étais pas marré comme çà en lisant un
...un..un quoi au fait ?
"poésie libre" qu'ils disaient. La liberté comme en étendard.
L'humour servi sur un plateau (de fruits de mer). Servez vous. (27/5/2019) |
Passionnément ↓ |
Sarah_K : Rouge cerise |
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Cette forme de versification est, à mon avis, assez délicate à réussir. La quadruple répétition d’un vers détermine déjà la moitié des rimes. Le vers choisi doit être aussi élégant que possible, mais également insérable de façon pertinente et sensée. Un peu passe partout.
Ici la forme est parfaite, les octosyllabes donnent le rythme à ce bad... (21/5/2019) |
Vraiment pas |
Arthaume : Aurore ivre |
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Pas vraiment dessaoulé, le poète. S’il voit l’aube qui « bouille », l’arc-en-ciel qui siffle, la mer malade et le soleil qui vomit… ??? Et si le « zèf » fait allusion au vent, je ne le vois ni baigné, ni peuplant.
Désolé, trop c’est trop, même si l’ivresse éthylique et l’ivresse poétique autorisent quelques morceaux de bravoure.
Attendre un... (21/5/2019) |
Pas |
LenineBosquet : Pétrolade |
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Sniffer du K2R. Merci Oniris pour les bonnes recettes.
Si ce texte procède volontairement de la tendance à l’hermétisme pur et dur, qu’on m’arrête tout de suite. On gagnera du temps.
J’analyse.
Zébrures d’éther ? Va pour le tremblé. Va pour le déformé. Va pour le brumeux. Mais zébrures d’éther, qui est un gaz ?
« J’ai vu demain ». Adm... (20/5/2019) |
Passionnément |
Curwwod : Endymion |
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Il aimait Séléné, il gît sous l’œil blafard d’Hécate. Dur quand celle qu’on aime à plusieurs personnalités.
Très élégant poème de facture classique, dans la forme et dans l’esprit, soutenant la comparaison avec ce qui s’est fait de mieux chez les parnassiens (j’ai un peu vérifié). Car la poésie des quatrains n’est pas affectée par la grandi... (19/5/2019) |
Bien |
Sarah_K : Plaisir de Midinette |
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Poème qui ressemble...à un extrait de poème. Comme si l'auteure nous disait : "voici un échantillon de ce que je suis capable de faire".
L'écriture est sûre, l'alexandrin alerte et maîtrisé. Mais le thème est un peu rebattu ; Les mots aussi, clichés surexploités.
Faute de grain à moudre, on pourrait grattouiller le JU-LE-LAN du quatrième v... (18/5/2019) |
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