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Beaucoup |
maguju : Maldonne |
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Avec une telle nouvelle, le romantisme est définitivement mort !!
Cet texte est bien écrit car on visualise sans problème toutes les scènes qui se succèdent.
Dès le début on perçoit le double langage ou plutôt les doubles sensations que chaque événement provoque. Penser
« bon débarras, une ordure de moins sur cette terre » en pleine disc... (11/3/2019) |
Beaucoup |
Abrante : L'auto-stoppeur |
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Une histoire simple dans laquelle on pénètre aisément.
Le récit est cohérent, se déroule facilement.
On imagine les scènes: risque de panne d'essence, station service, auto-stoppeur mignon.
La conductrice aime cette compagnie qui pourrait peut-être se prolonger. Puis patatras tout s'arrête lorsque le troisième personnage émerge.
Le final n'... (9/3/2019) |
Beaucoup |
Neojamin : Que seule la littérature peut inventer |
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Cette nouvelle réjouissante est rondement menée.
L'écrivain qui décide qu'on devrait supprimer l'écriture, voilà une belle trouvaille.
La description des 1500 exemplaires du livre vendu à 126 amateurs doit évoquer des souvenirs à certains.
Toulouse un peu malmenée sauf pour la belle vue sur la montagne.
Finalement nous sommes au cent... (4/3/2019) |
Beaucoup |
Eijihimura : Danse mortelle |
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Voici donc un monde où "notre population ne cessait de croître" et qui sait qu'il va vers sa fin. Cette simple phrase crée une complicité avec le lecteur humain pour qui l'aventure actuelle de la terre a quelques ressemblances. NON, non, diront certains puisqu'on découvrira qu'il ne s'agit pas ici des terriens qui ne font que regarder en voyeurs... (26/2/2019) |
Beaucoup |
Miguel : Le petit saint qui s'ennuyait |
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Voici un beau conte plein d'humour.
Bien écrit, décrivant avec précision les sentiments comme les situations, on se laisse prendre volontiers pour connaître la suite et la fin.
En inventant une morale au final on aurait là une fable amusante.
Bravo. (19/2/2019) |
Passionnément |
hersen : Nu |
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Un texte remarquable sur la démarche poétique, ou plus encore sur le cheminement individuel qui construit un poète.
"J'étais un poète noir" conclue la première partie où règnent la fureur, les abominations du monde, "de la bave et du foutre et du sang."
Le tournant vient avec "J'écrivais, j'écrivais comme le monde serait beau si..." Oui ma... (16/2/2019) |
Beaucoup |
Andre48 : Le grand saut |
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Belle nouvelle car...on se laisse prendre.
La performance artistique très originale avec un coup pied en passant aux virtuoses de la malbouffe, est séduisante. Bien sûr on sent qu'il y aura une arnaque quelque part mais où ?
Le personnage du clown est totalement ambigu et montre jusqu'où peut aller le racolage commercial.
Le cynisme de l'... (10/2/2019) |
Un peu |
Canuelle : On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve |
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Mystérieux. J'ai l'impression de lire un monologue intérieur où de fait il n'y aurait jamais eu qu'un seul personnage faisant travailler son imagination.
Cette impression est renforcée par l'utilisation d 'expressions passe-partout, le titre bien sûr mais aussi "visage émacié", "pommettes dessinées haut", "nos draps froissés", "me caressera dou... (5/2/2019) |
Passionnément |
Sylvaine : Comme une sœur |
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Lisant cette nouvelle en anonymat, je subodore que l'auteur a quelques notions de Psy. Sinon c'est bien imité...
Le texte se lit d'une seule traite, l'intrigue étant très bien construite.
Le rapport du personnage aux femmes est finement décrit et cette introduction bien ficelée: "L’homme de Séville était avant tout un trompeur, tandis que lu... (3/2/2019) |
Beaucoup |
Neojamin : Sur la plage |
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Ce récit est remarquable pour l'ambiance qu'il crée, panique, danger, urgence, bousculades, incompréhension, suspicion sont au menu.
On ne sait pas vraiment quel est ce danger mais on le sent, encore renforcé par le comportement de Camille qui vit dans son îlot individuel sans rien comprendre, en toute naïveté.
La description du bateau én... (31/1/2019) |
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