« C'est une heure incertaine, c'est une heure entre deux
Où le ciel n'est pas gris même quand le ciel pleut »
(Françoise Hardy, « L’heure bleue », 1969)

Une question à laquelle je ne sais que répondre m'est souvent posée...

Couple sexagénaire : madame à son mari.
Ghazel.

Sonnet en monosyllabes.
Marée noire.

Ne vous mettez pas en souci du lendemain, car le lendemain aura souci de lui-même ; à chaque jour suffit sa peine. (Saint Matthieu)

Grâce et beauté n’ont pas d’âge pour charmer.

Le silence peut-il être un langage perceptible ?

« Qui sait si cette mer cruelle
La ramènera vers mon cœur ? »
Maurice Bouchor, La fleur des eaux

Pour vivre heureux, vivons cachés.

L’amour, c’est donner ce qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas. (Lacan)

De Vivaldi à Stravinski, une extase printanière admirée au jardin...

Deux oiseaux, deux augures de la nuit éternelle.

Nous n'héritons pas de la terre de nos parents, nous l'empruntons à nos enfants.

(Antoine de Saint-Exupéry)

Auraient-ils pu donner naissance à des mésangeais ?

Petite ballade en alexandrins.
Soixante-quinze ans de mariage. Le vieil homme ne retient de leur longue vie ensemble que les torrents de tendresse qui l’ont sans cesse abreuvé.

Que peut-on craindre avec un aimable bâton de vieillesse ?

Sur l'île un feu tient la férule
Et s'offre un géant balthazar !
Le temps du rêve est cauchemar.
Koala, ton continent brûle.

Puissent encore les enfants de nos enfants vibrer au son du brame.