Nous étions hébergés chez des gens (près de Colmar) dont le village fut rasé par les nazis ; je voulus leur faire plaisir en leur écrivant ce poème.

Une chanson pas très connue d'un auteur très connu.

– Lasse de ces atours que l'étiquette exige,
Souriante, toujours, à chacun quelques mots,
Je suis la belle fleur bien droite sur sa tige… ! –

Tiré du "Recueil des vents".

L'amour sur les rochers.

Ce poème a une structure originale, une construction dont je ne suis pas à l'origine (appelée "la cyclanelle") et qui confère une musicalité particulière, un peu comme le pantoum. Je ne saurais en utiliser les règles sans mentionner le nom de son inventeur : Alain Dukarski, et je le remercie de m'avoir initiée.

Juste pour sourire, une frustration traitée avec autodérision…

Une fleur entre deux mondes.

Voyager léger.

Souvenirs ardents.

On peut toujours rêver…

(Deuxième version de ce texte que j'avais proposé en catégorie "poésie classique" et que, après l'avoir retravaillé suite aux commentaires en comité de lecture, je propose résolument en section "poésie néo-classique".)

Tiré du "Recueil des vents".

Liberté, liberté chérie…

Ces longs soirs d'été au clair de lune à nous aimer dans
le grand parc solitaire tout bruissant de nos baisers,
jusqu'à l'Aube venue…

Regrets et nostalgie sont-ils régénérateurs... ou destructeurs ?

Revenir des rêves nocturnes, qui ne sont bientôt plus qu'images floues, et voir un nouveau jour se lever, quoi de plus émouvants que ces petits matins bleus.

Ne sachant dans quelle rubrique placer mon poème, je vous laisse
seuls juges pour m'orienter, en vous remerciant par avance.

Je me suis essayé au "maillet" dans ce texte.