Petit poème sans prétention aucune, juste quelques pattes de mouche posées sur un tableau.

Poème court en lien avec la brièveté de celui de Jaccottet.

Inévitablement.

Amour.

À tout ceux qui y ont cru, de Tiananmen à Damas.

Ou comment on imagine l'histoire.

Source pas loin de s'assécher…

As-tu vraiment vécu ? En fait, la question n'a pas lieu d'être, chaque vie étant impossible à jauger par les autres, mais on ne peut s'empêcher de parler de « vie intense, vie plate, vie riche, vie de misère… » alors que nous vivons peut-être tous à intensité égale, et que chacun est peut-être rétribué à la mesure qui lui convient.
Mais la question ainsi posée permet, en se penchant sur la dalle « d'ici gît un tel », de méditer sur sa propre vie.

Inspiré par l'écoute du Pierrot lunaire d'Arnold Schoenberg.

CDD.

Entre remords et regrets.

Ceci est une réponse de l'intéressée à la lettre ouverte publiée par M. le spermatozoïde dans la revue oniris-poésie.com en date du 12 septembre 2022. Par esprit féministe, je préfère utiliser la forme néo-classique, la forme classique, machiste, faisant tout pour qu'il soit difficile d'utiliser les adjectifs, les substantifs et les participes au féminin. Retrouvez-nous sur balancetonspermatozoide.com.

Pardon, M. de Heredia !

(Les Trophées/La Trebbia.)

Autoportrait sous forme de miroir présentant dans la lumière crue de la vérité une charge incendiaire envers l'auteur de ces vers qui, sévère lui-même, tend à faire du sonnet un punching-ball malléable, l'autodérision et l'ironie au poing.

Quatrains.

Du fond de notre jardin d'eau, mon âme saigne… lorsqu'elle entend la communauté scientifique, cet été, confirmer, en catimini, la présence de PFAS (traduisez des produits chimiques éternels) dans l'eau de pluie, en tout point de notre planète, y compris dans la chair même de tous ses êtres vivants !

Entre autres dommages collatéraux.