Un sonnet à ma façon sur le caractère diabolique du temps.

Cette fable est un clin d’œil à Jean de La Fontaine, Darwin, Norge, Chavée, du Bellay… et à ceux que leur profession amène à arpenter la planète. Toutefois, malgré son ton péremptoire, la conclusion est un peu dépassée car à l’heure du téléphone par Internet, on reste en contact étroit avec ses proches et amis même s'ils sont aux antipodes.

Expression d'un cœur en souffrance...

Autrefois, on demandait aux enfants de ne jamais cueillir la cardamine sous peine de se faire mordre par un reptile dans l'année à venir...

C'est parfois mâle qui peut.

... baisers !
(Pantoum)

La cité corsaire.

MRG.

Le pouvoir de la séduction...

Canary Wharf, London City.

Un texte, parmi tant d'autres, extrait de mon 19ème ouvrage écrit entre 2015 et 2017 dans la rubrique poésies satiriques chez France Libris.

Il est un cadeau que j’espère en ce jour, un seul cadeau, celui de ta présence… Tu me manques tant !

Ce poème a été agréé par le jury du prix Pierre Nothomb dans le cadre du concours sur le thème "Masque".
J’espère qu’il plaira aussi à quelques lecteurs oniriens.

J'ai 14 ans et ceci est ma première réelle production.

Dire adieu est souvent difficile.

Ce poème est une sorte de rondeau en treize vers sur la passion du Christ. Il évoque la puissance phénoménale de cet événement biblique qui a marqué l'Histoire de bien des façons.

L'ancienne langue avait ce mot : aubain.

Sonnet mystérieux et contemplatif.

... des plus communs aux plus singuliers...