Écrit sur l'air de la chanson de Brassens dont j'ai usurpé le titre, ce texte n'offre un intérêt, aussi minime soit-il, qu'en étant fredonné… Un hommage à mes grands enfants… s'il est lu jusqu'au bout…
Un petit côté classique… avec l’idée saugrenue que la réalisation ne le sera pas. Et c’est d’ailleurs le cas puisque personne n’a osé me suivre encore sur ce coup-là. Pas de mise en musique donc, désolé.