Le temps de mourir.

L'équilibre, pour moi, est à présent bien précaire…

Nos deux anniversaires « tombent » mi-avril…

Pour celle que j'ai connue sur les bancs de la maternelle et qui partage ma vie depuis maintenant presque quarante ans.

Hommage.

Je songe à tous les poètes suicidaires qui ont conçu un jour un rêve sans espoir.

Poème inspiré par le site de la Delphes antique.

En souvenir d'une aube somptueuse.

Dans la guerre que l'on voit ou que l'on subit, il y a d'une part les faits, et d'autre part la manière dont nous les recevons. C'est pourquoi la guerre, le conflit, se trouvent autant dans notre mental que dans le monde extérieur, ils se font écho. Se réformer soi-même aboutit à un autre point de vue sur les évènements, qu'ils soient d'ailleurs heureux ou douloureux.

Quand la mer de nuages se forme et disparaît au soleil levant.
En rimes continues pour accentuer la répétitivité du phénomène.

La ville, ses tours, son brouhaha, ses embouteillages.

Un instant miséricordieux qui nous fait revenir aux désirs essentiels.

Matin gourmand…

Essai de cyclanelle à la façon de Dukarski…

Métaphore…

Une vie après la mort ?

Ce ruisseau ne se jette plus dans la rivière, un effondrement minier stoppe son cours et son eau se déverse dans les anciennes galeries ennoyées.

« Une mauvais herbe est une plante dont on n'a pas encore trouvé les vertus. »
Ralph Waldo Emerson