Et mon âme s’attarde éperdue de bruyère,
Contre l’amour passé il n’est de guérison !

Biarritz. Pluie d'un jour de tempête. Dans sa voiture, garée près de la grande plage, un vieil homme se souvient et griffonne un poème…

Une valse sous-marine.

Martèlement de la pluie sur le verre.
Orage urbain.

Un jardin la nuit au clair de lune peut présenter bien des charmes.

L'émancipation mentale que procurent parfois certaines nuits sans sommeil, mais pas sans rêves…

Cent jours d'horreur et de folie meurtrière au pays des Mille Collines…

"Man shall not live on poetry alone"
(Another Luke)

« Auprès de ma blonde
Qu'il fait bon, fait bon, fait bon,
Auprès de ma blonde
Qu'il fait bon dormir ! »
(André Joubert du Collet)

Une sorte de veillée d'armes avant de prendre la mer vers le pays anglais.
Les mots « salut » et « théâtre » sont à prendre dans tous leurs sens.

Celui que tu cherchais n'était-il que ton moi ?

Une envie de parler de la maladie d'Alzheimer, simplement.

Ce poème m’a été inspiré par une douleur rémanente qui a empoisonné mes nuits pendant des semaines… mais ce n’est qu’une source d’inspiration. En aucune façon ce n’est autobiographique.

Sonnet libre.
À Pierrette Micheloud.

« Je crois, si le bonheur est quelque part, qu’il est dans la stagnation. Les étangs n'ont pas de tempêtes. » Gustave Flaubert

Art poétique pour franchir le pas et entrer dans la ronde…

Les temps changent !

C'est un organe fantasmagorique, ou plein de fiel, ou plein de miel ou vide.

Le soleil amoureux alors reprend sa place.