Réflexion sur les temps modernes.

Poème librement inspiré du tableau de Munch, « Le Cri », 1893.
http://www.oeuvres-art.com/images/medium/le-cri-edvard-munch.jpg

12 juin 1982. Le jeune Albert Tulipe a 20 ans. Première nuit de liberté, premier amour, premiers baisers, premiers écrits.

Le poète et sa muse. Leurs existences sont liées : il l'épuise, elle disparaît. Le rêveur ne peut se consoler qu'en imaginant un autre ailleurs.

Inspiré des toiles de l’artiste Hannah.
https://hannah-peinture.jimdofree.com/mes-cr%C3%A9ations/

Jour d'école.

J’ai tout laissé de moi pour remonter à la source de l’amour, d’un amour nu, sans lois, sans croyances et sans définitions.

Texte écrit en fin d'été après avoir écouté la nature.

Dans la semi-conscience du réveil, entre besoin et plaisir premiers, cette quête…

Un film de Wong Kar Wai, une histoire d'amour, une chanson de Nat King Cole, quelques mots...

Avant toi.

Une quête...

Des amours impossibles…

D’une nuit de feu. J’écris le cœur léger comme un oiseau, lourd comme un ciel !

L'heure est au courage de faire face à son propre confort.

Très peu de logos, pas mal de pathos...

Un ressenti en quelques mots...

(Vingt-trois morts en Bolivie et le peuple aymara orphelin de l'espoir.)

Poème écrit en 2013.
Tentative de mélange entre le cœur et le temps, qui suivent chacun un processus rythmique, liés chacun à notre mort. Quand j'ai écrit ce poème, j'avais l'image de la mort suivante : un homme habillé de noir, en costume, ni neuf ni usé, qui marche seul sur un quai. Ses pas résonnent. Il a plu et il fait nuit. Le jaune des réverbères qui se reflète dans les flaques. Un peu de brouillard.
Le Temps est complice de cet homme et l'aide à vaincre notre cœur.