Quand le matin se fait dessin.

Les pensées affranchies, les chevaux débridés qui galoppaient hier encore vers des oasis de songes, sont cadenassés dans l'oubli.

En forêt de chênes, l'automne, en Cévennes.

Par le kaléidoscope de leurs yeux, j'ai vu…

Pourquoi être jaloux si c'est toi qu'elle voit quand elle sourit à tes rivaux ?

Big bang émotif. Toutes les attentes sont aussi vaines que prégnantes. Et le sablier se retourne en même temps qu'il s'effondre.
Qui de l'esprit ou de l'univers établit les frontières de l'infini ?
Nos sentiments demeurent et, pourtant, la forge céleste poursuit son œuvre.
Texte adressé à cet être aimé dont les absences nous pèsent tant.

Juste un instant suspendu avant la vague d'un amour qui s'en va.

Poésie libre.

« [...] Par ailleurs, on évoque aussi souvent un sens dialectal (région de La Nouvelle-Orléans) obscène au verbe anglais to jazz : copuler. Certains lexicologues renvoient à un argot en usage vers 1880 dans cette même région qui signifierait « exciter » – avec une connotation rythmique et érotique. » (in jeune Afrique)

Trente-sept ans plus tard.

Poème librement inspiré du tableau de Joan Miró « La Course de taureaux » (1945).
https://www.centrepompidou.fr/cpv/resource/cgzzkpj/rGbRBxB

Jeux d'alizés.

« On se doit de faire mieux
Aussi je donne tout ce que je peux donner
Et finis par trouver que la vie est bien belle
Et que plus je la risque, plus elle a de valeur,
Et vivre est merveilleux. »
J.M.

La vie d'une résidente et d'une soignante dans une maison de retraite maltraitante.

Un éventail d'une vision imaginée d’œuvres d'art connues, dans laquelle j'introduis une action.

Et vous, quel poème êtes-vous ?

À l’hôpital.

Mystères.

Respirez profondément et laissez aller.

Texte spontané.
Sans prétention aucune.
À vous de juger ma plume.