Je partirai.

On les voit, au petit matin, « sous l'immense gaze des cieux »...

Pour celui qui part
Pour celui qui reste –
Deux automnes.

Matsuo Bashõ
(1644–1695)

À une déesse des eaux.

Chacun a son jardin la mine et l'hôpital.

Après la découverte d'un homme mort sous un porche. La misère est insupportable quelle que soit la saison.

« Et tout, autour de moi, vit dans l’idolâtrie. »
S. Mallarmé

Ce poème relate une vision personnelle et factuelle de l'attentat qui a eu lieu à la basilique de Nice le 29 octobre 2020 et est un hommage aux trois victimes.
Ma compagne, de par son métier, est intervenue ce jour-là et est restée jusqu'aujourd'hui marquée par cette journée.

Mon futur s'embellit, enfant, quand tu parais.

En des temps à peine surannés, voici une scène habituelle dont se souvient aujourd'hui l'enfant d'alors, dans ce quartier paisible d'une bourgade du sud-ouest, où l'on parlait moitié français/moitié patois.
(NB : puisse le lecteur m'excuser par avance de l'envoyer, à plusieurs reprises, lire la traduction française en bas de page).

… c'est écouter le chant de ses amies les fleurs.

Fluctuat et mergetur.

En 1925 les femmes étaient inéligibles en France.

J'ai souhaité participer a posteriori au concours, dans le cadre de mon initiation, juste pour rire… Thème : R. Devos.

Quand l'aquarelle se fait présente.

Et mon âme s’attarde éperdue de bruyère,
Contre l’amour passé il n’est de guérison !