... une brise évadée.
Après Chitzen Itza et Palenque, Teotihuacan.
Aux exilés, aux oubliés, en perdition...
Juste le goût des cerises, et le bleu de la mer et du ciel, et le vol des abeilles, et tout ce qui nous paraissait immense alors que maintenant cela nous paraît si petit.
Ces vers racontent la fin tragique d'un couple qui se hait.
Quel bonheur de se balader l'un derrière l'autre !
C'est la nuit que tous les parfums s'exhalent et que les plantes croient encore que viendra la pluie, car la rosée les recouvre de perles de cristal.
L'amour, toujours l'amour.
Des alexandrins aux césures bizarres à base d'un drôle de point commun entre deux souvenirs.
Les mayas furent vaincus d'abord par eux-mêmes avant les conquistador...
Danse "primitive".
Qu'il est doux d'observer l'aimée qui dort !
Les amours éternels - I - Tourments d’angelet. (Mes premiers tourments)
Ah ! être le seul aimé...
Parfois une autre vie, en moi se tisse…
... qui vient de l'exclu.
Des fleurs à connaître...
L'amour et l'écureuil
Quand on est accro...
Qu'il est bon d'écouter, la nuit, le souffle de l'aimée !