"Des vers holorimes sont des vers entièrement homophones ; c'est-à-dire que la rime est constituée par la totalité du vers, et non pas seulement par une ou plusieurs syllabes identiques à la fin des vers comme dans la rime « classique »."

L'ellipse est un naufrage.

Lorsque que Iseult rejoint Tristan dans la mort, un pied de vigne et un pied de lierre poussent enlacés sur les lieux du drame. Depuis ce jour, le lierre symbolise l'étreinte amoureuse et aussi amicale.
Sa devise : "Je m'attache ou je meurs".

Un poème inspiré par une suite d'illustrations expressionnistes.

La rumeur, une destruction assurée pour certains, une occupation bien menée pour d'autres.

Oh,
Paresser…

Geste ultime, sans recours, sans fin non plus puisqu'il laisse ceux qui restent dans l'abîme des remords et de la culpabilité. Rien ne retient ce geste, ni les joies du passé, ni même les rêves de voyages, de bonheur, de plaisirs…
Folie ? Oui, il y a de ça…
Il y a surtout cette souffrance intérieure qui avilit et ne laisse qu'une seule porte de sortie tant elle est forte et cruelle…

Cousin de Jean Tortille.
(Petit poème divertissant, je l'espère.)

D'après le tableau éponyme http://fr.muzeo.com/reproduction-oeuvre/la-lecon-de-musique/fragonard-jean-honore de Jean-Honoré Fragonard,
élève de François Boucher, père supposé de la jeune musicienne.

"Il y a 60 coups qui ont sonné à l'horloge
Je suis encore à ma fenêtre, je regarde, et j'm'interroge ?

Maintenant JE SAIS, JE SAIS QU'ON NE SAIT JAMAIS !"
Jean Gabin

À la machine à café de l'usine, moi je vais me prendre un thé...

Poème extrait de "Bleu Amour".

Anonyme et néanmoins apocryphe.

Le temps infiniment petit.

Un poème inspiré du tableau ''Voile papillon'' de Vladimir Kush.

Un poème pudique.

À l'être profond.

Je me tais ; loué sois-je.

Une nuit de tempête.

À une Allemande.