Sonnet classique sur un "classique" du Midi : le mistral.

Sábado noche fiebre.

Derniers instants…

Révolte légitime ou accès de colère ? À vous de juger !

Avant l'heure.

Il reste toujours un espoir un peu fou pour consoler l'amour sans espoir.
(Anne Barratin, De toutes les paroisses, 1913)

« Oh ! l’absence ! le moins clément de tous les maux !
Se consoler avec des phrases et des mots. »
Paul Verlaine.

Le désert Rub’al-Khâli, littéralement « La Contrée déserte ou La Contrée désertée ».
Le désert le plus vaste du monde avec des dunes de 250 mètres de haut.
Ce désert, qui passe pour être l’endroit le plus inhospitalier de la planète, est peut-être aussi des plus fascinants.

Je ne vais plus au zoo.

Il s'agit d'un contre-blason humoristique écrit sous la forme moins humoristique du sonnet. Toute ressemblance avec la réalité serait tout à fait fortuite.

Discrète normande "petite mais costaude". Comme une maman ?...

Sonnet.

[...]
Ô Dame ! regardez enfin ces raffinées,
Celles qui vont fuyant les baisers masculins
Pour entre elles unir, par des gestes câlins,
Leurs féminines chairs de l'homme détournées...
[...]
(Lucie Delarue-Mardrus)

Au guitariste mon ami,
Qui, un soir,
Remit au jour mon sol fa mi.
Sans espoir...

Sonnet.

Il s'agit d'un essai de sonnet "classique" pour rendre un petit hommage à deux personnalités hors pair du french cancan.

Non je ne me souviens plus
Du nom du bal perdu.
Ce dont je me souviens
C'est de ces amoureux
Qui ne regardaient rien autour d'eux.

« Le petit bal perdu » – Bourvil

Ballade primitive en alexandrins.
Finistère. Été 1920.

Jour d'équinoxe près de l'embouchure.

Que ceux qui n'ont jamais péché me jettent la première pierre !