Périple d'une Déesse en Terre Humaine.
Monologue d'un dessin inachevé.
Sur un ciel chargé Se détache une silhouette.Des contours se dessinent Dans la nue foudroyée.
L'astre indécis fait couler des larmes que sèche le soleil.
Quatre petits poèmes, quatre petites vies.
Être en paix.
Un arbre centenaire est un continent pour toute une faune et microfaune et lorsqu'il est foudroyé il faudrait le laisser là en offrande à la Terre.
Il s'agit d'un poème surréaliste, inspiré par le travail de poètes comme André Breton ou Isidore Ducasse. Il est une vision imaginaire du passé, des images, des flashs de mon enfance. Quand les rêves rejoignent la réalité…
L'amour, l'amour, libre.
Selon certains, nos sociétés occidentales auraient atteint leur aboutissement.Mais l'avenir quel qu'il soit est encore à venir.
À chaque marée basse, la mer en se retirant dresse la table et offre de plantureux festins. Les oiseaux des mers ne se font pas prier.
Les larmes… en toute intensité.
Écrire…
Et en 13 secondes, vraiment tout bascula.
Menue monnaie.
Désespoir et courage d’un soldat au printemps 1917.
Même le poisson qui vit dans l'eau a toujours soif.Proverbe africain
La légende dit que voir le rayon vert donne le pouvoir de lire dans son cœur et dans celui des autres.
Simplement une rencontre.