La poésie peut-elle être autre chose qu'amoureuse ?
Des facéties d'un passé si présent…
Chemin de traverse…
J'aime l'automne, j'aime les gares (voyez ce qu'Antonio Muñoz Molina en fait !)
Dis Papy ! Tu m'achèteras un poisson rouge ?Non, je ne peux pas faire ça, mais viens un peu par là, j'ai des histoires à te raconter…
Amoncellement d'objets improbables, à cinq balles, trouvés chez "Farfouille", une surréa-liste à la mode prés verts.
Des petites affaires pour parler de lui (texte inspiré d'un projet de Sofie Vinet – plasticienne).
La foi peut soulever des montagnes ; est-ce encore vrai ?
Périple d'une Déesse en Terre Humaine.
Monologue d'un dessin inachevé.
Sur un ciel chargé Se détache une silhouette.Des contours se dessinent Dans la nue foudroyée.
L'astre indécis fait couler des larmes que sèche le soleil.
Quatre petits poèmes, quatre petites vies.
Être en paix.
Un arbre centenaire est un continent pour toute une faune et microfaune et lorsqu'il est foudroyé il faudrait le laisser là en offrande à la Terre.
Il s'agit d'un poème surréaliste, inspiré par le travail de poètes comme André Breton ou Isidore Ducasse. Il est une vision imaginaire du passé, des images, des flashs de mon enfance. Quand les rêves rejoignent la réalité…
L'amour, l'amour, libre.
Selon certains, nos sociétés occidentales auraient atteint leur aboutissement.Mais l'avenir quel qu'il soit est encore à venir.