J’aime écrire sur les thèmes abordés dans mes cours.
Ici, je me suis inspiré de ces gens que l'on dit "dépendants solitaires". Je tente dans ce poème de traduire leur pensée :
celle d'intouchables craignant les rapports humains.

… mais n'est-elle pas immortelle et la seule preuve de notre "divinité" ?

Dix haïkus.

Une résidence céleste est idéale et des plans sur la comète pour la réaliser sont les mieux adaptés. Hélas ! Peu matérialistes…

Suite à une contrainte fournie en forum contraintes-contrastes post #1065 et suivants, j'avais commencé ce poème, que je viens de retrouver et terminer.

Pâques : saison des cerfs-volants, en Haïti. Les enfants les fabriquent, avec des éléments trouvés ici et là. Une belle photo, de loin. De près : la faim, la violence… la misère, qui vous prive de votre humanité. À eux que je connais si bien et à tous leurs petits frères oubliés que je ne connais pas.

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Elles nous laissent une marge d'espoir et de renaissance dont nous n'avons pas toujours conscience.

Levé tôt, je suis resté si émerveillé par le jour naissant que j'ai éprouvé le besoin d'essayer de le décrire alors que l'on parle souvent des couchers de soleil…

Un homme en proie à la solitude et aux regrets.

Inspiré des relents du Nil.

Vendée Globe… il est bon dernier et s’en moque, il fait hurler Pavarotti, à fond la zique, dans le vent noir des quarantièmes. "La donna è mobile". Magique ! Ça vaut bien un petit poème.

Ce temps qui passe, et qui nous tient.

Malgré le temps…

Dans la nature, l'homme est toujours un intrus.

L'amour né entre l'onde et le feu vu dans le prisme de la lumière…

Quelques vers en faveur des rêves.

Poème pour l'au-delà.