Un homme, une femme, retrouvailles d'un jour pour une passion sans issue.

En visite chez une amie peintre, un soir d'été où par la fenêtre ouverte nous eûmes la visite de tant d'insectes nocturnes. Il ne restait plus qu'à imaginer…

Fable.

Je profite de l'automne pour ramasser quelques mots semés au gré du temps.

Par les mots.

Retour pacifique à un ancien affût de chasse et une rare communion avec la nature, instants précieux, s'il en est.

Le rêve, trait d'union entre la rue et le ciel, la misère et la fortune.

Les doux filets de la passion…

Tiré des "Chroniques".

Voyage imaginaire dans ce passé que les cadenas renferment, et autres mauvais sauvetages.

Pour Basile, maçon immigré du Frioul, venu chez nous dans les années cinquante.

Une épopée rêvée dans les terres d'Irlande
où la réalité n'est rien et l'imaginé tout.

Adieu à une grande amie…

Juste une idée venue une nuit d'insomnie. Aucune sympathie pour les profanateurs ou autres antéchrists, aucune envie de choquer, uniquement un écrit nocturne.

… le grand plaisir des mots en mer.

Traverser…

L'appel du désert.

Petite aquarelle de mots…

S'accorder au pire… ou au meilleur ?

Edmond Kaiser écrivait : "Si l'on ouvrait la marmite du monde, sa clameur ferait reculer le ciel et la terre. Car ni la terre ni le ciel, ni aucun d'entre nous n'a vraiment mesuré l'envergure terrifiante du malheur des enfants, ni des pouvoirs qui les broient."
J'ai choisi un angle différent pour effleurer ce thème de l'enfance sacrifiée par la barbarie humaine.