"Ma mère ne m'a jamais donné la main", écrit Violette Leduc pour ouvrir "L'asphyxie" (Gallimard. 1946). De même un homme se souvient de son enfance sans tendresse…
Que dire ? Il y a des moments où on a besoin de faire "retraite", de se fermer aux autres. Quand on revient de ce "no man's land", il est bon de trouver une affection compréhensive.
Discrète derrière les mots de la dualité extrême – tels "tout ou rien", "blanc ou noir" : la ressemblance frappante de tous les habitants de la planète.