Une nuit de grand doute où mes vers angoissaient En singeant les quatrains des Savants d’un autre âge, J’ai froissé mon orgueil et déchiré ma page. Alors, narquoisement, mes rimes s’embrassaient.
Bretagne, les toits ardoisés de tes maisons robustes ne cèdent pas aux rafales incessantes, mais ton littoral après la tempête témoigne de la rudesse des coups portés.