Un voyage en train durant lequel il m’a semblé croiser le regard mélancolique d’Edward Hopper…

Pour qui sont les regrets et les pleurs de la femme du marin ?

Le champ de bataille de l’Argonne (1914-1918) a encore, un siècle après, des traces de combats acharnés ; durant quatre ans, les deux armées adverses n’ont cessé de se battre sur une bande de terre d’à peine 10 km de largeur. Mon grand-père m’a parlé du désastre qu’il a découvert en revenant dans son village après l’armistice, alors qu’il était ado.

Les petits bonheurs de mon enfance sont indélébiles. Puissent tous les enfants en avoir d’aussi beaux.

Un peu simple peut être, mais j'aime l'idée qu'un cimetière puisse mettre au monde des vivants.

Un simple jeu de rimes pour retenir l’été…

Facétie.

Mieux qu'un passage clouté, un pointillé permet de traverser...

Ce qu'est une zone de guerre et les déracinés qui la fuient, au travers d'images auxquelles la poésie prête sa puissance.

Chanson cathartique.

La nature possède peut-être le secret du bonheur. Elle nous parle. On s'y ressource.

L'ictus amnésique est une expérience déroutante.

Tentation et amertume, un vendredi soir à Rio de Janeiro...

La mémoire, les souvenirs... comment nous manipulent-ils ? Comment les manipule-t-on ?

Fable Delafon (Jacob).

...

Sans prétention, il fait soleil, juste pour sourire...

Portrait d’une vieille.

Une poésie sur l'aspiration d'un écrivain à produire des textes de qualité mais doutant de ses capacités à pouvoir la réaliser à cause de ses lacunes, ce qui l'oblige à réfléchir à sa condition.

À mon oncle, mort au camp de Mauthausen à vingt-deux ans.