Nos passions ibériques, terres de soleils, de passion et de mort.

Un peu de sport…

Le cri – les mots en soi qui peinent à sortir. De la difficulté de communiquer.

Impressions aquatiques sur le plancher des vaches.

Deuil éphémère.

Les mots viennent parfois en voyage, des rencontres, des adieux et de l'encre.
Quelques jeux de mots pour rire.

Il y a parfois des moments, par exemple un week-end pluvieux, où se focalisent les ingrédients nostalgiques du passé. Et l'on se surprend à tenter de juguler une forme de tristesse mêlée de fatalisme.
Le temps du bilan ?
Non, simplement un excès de nostalgie…

« Il y a toujours quelque chose d'absent qui me tourmente. » Camille Claudel

Ce matin, j'ai pris un grand bol d'air à la mer…
Me l'a rendu plein d'eau !

J’ai imaginé un message qu’aurait pu adresser Verlaine à Rimbaud vers 1886 alors que ce dernier commerçait en Éthiopie sans se soucier du recueil des « Illuminations » qui venait d’être publié par les soins de son vieux compagnon. Verlaine évoque leur séjour à Londres entre 1872 et 1873.

Deux poèmes qui pourraient trouver correspondance. Le premier est inspiré d’une vidéo réalisée par un ami.

Un poème de long deuil et de vacances, si l'on veut.

Face au cancer le combat des guerrières de la vie.

Tout à coup, dix ans de plus...

Il y a des moments, des fêtes, perpétrés sans vraiment en connaître les raisons et l'historique, qui parsèment nos calendriers. Pourtant, ils donnent lieu à des échanges familiaux ludiques et éphémères parfois teintés d'aigreurs relationnelles. Pâques, par exemple...

Inspiré d'une visite en maison de retraite, triste réalité que celle de l'abandon.

Étendue sous l'arbre m'est venu ce poème…

Poème du fond du bar…

Au détour d'un matin au réveil…

Guerres et famines presque à nos portes. Et nous, où sommes-nous ?