Inspiré par le site mégalithique de Grande-Bretagne au moment du solstice.

En vers et en strophes.

Bonjour, je viens de m'inscrire ici. C'est donc ma première publication.
Ce texte (un peu long) constitue l'étape actuelle d'un travail en cours.
Par ailleurs, quelques autres de mes textes ont paru cette année dans une quinzaine de revues numérique ou papier.

Me sentant, tout à coup, immensément grand dans l'espace, j'envoie la sauce ! Avant que ma conscience d'être ne rapetisse.

Ces trois poèmes sont tirés d'un recueil intitulé "Le désespoir sur un cintre".

… ma vie méli mêlée…

Paix sur la Terre aux hommes de bonne volonté… Fable.

Ce poème est inspiré de la peine qu'endure un homme avant de parvenir au succès dans une entreprise quelconque.

Le quotidien à la une et le quotidien silencieux.

Vent.

Au sommet d'une dune, le soleil va se coucher, un doux mélange de sensations et d'émotions, un besoin de silence, une envie d'être infime et cette chance : se sentir fragment d'un tout.

Prisonnier du souvenir…

Petit coup d'humeur à la fin août de l'an passé…

Et quatorze !

Hommage à Raymond Queneau.

Fantasme d'un insomniaque amoureux.

Un passage dans le désert du Namib, 65 millions d'années, le plus vieux désert de sable connu. Des montagnes d'un côté, et de l'autre le sable se noie dans le courant de Benguéla dans l'Atlantique. Le mystère, la magie et le gigantisme de ces lieux nous font prendre conscience de la dimension de nos existences… de notre précarité aussi.

Un peu tendresse, un peu bordel, comme toujours…
Publication improbable mais ce n'est pas grave…
Je m'amuse…

Quand l'homme ajoute aux drames de la nature.

La saison sèche, le soleil a vidé la plupart des cours d'eau et rarement subsistent des mares surpeuplées. Le point d'eau est dans toutes les savanes africaines le passage obligé. Ici plane le risque de mourir pour quelques gorgées d'eau. Les prédateurs le savent, les proies aussi.