Les deux premiers vers de ce poème ont été écrits en rêve.

…

Hum ! C'est un poème qui parle des villes.
Je ne sais pas quoi dire d'autre.
Normalement, il y a une mise en forme spéciale qui amène un rythme des blancs qui crée (à mon sens) quelque chose comme un rythme de jazz… Mais la mise en forme saute à la prévisualisation. Ce n'est pas très grave.

Je lui tends une épaule, sa tête en épouse bien le creux. Son corps s'enspasme un long moment, sa peine s'égoutte et s'enflaque sur le blanc de ma chemise…

Les mots s'enchaînent et m'entraînent je ne sais où.

À l'automne les cerfs se battent et quelquefois à en mourir.

En vers et en prose.

Des mots pour d'autres des mots béquilles des mots attelles
mais qui gardent quand même un peu de leur sens, de manière à dire deux choses à la fois dans la même phrase, et créer ainsi dans l'imaginaire des images de sexe, d'amour, de moiteur, d'oiseaux englués, de pétrolier et d'alpinisme, voilà, c'est un peu comme un tableau d'Arcimboldo qui représentait des visages faits avec des fruits et des légumes.
L'idée c'est un peu ça.

…

Les tuiles éblouies tournoient…

Éclats de ville.

Je te souhaite, ô monde,
tout le bonheur que tu me prends…

La présentation est dans le titre.

Toujours calé
Sur le rythme écolier
De septembre
À septembre

Les petits bonheurs de la vie en vrac.

… contemplation de l'innocence.

Inspirée par Morrigan, déesse de la guerre dans la mythologie celte.

Normalement la douceur du soir donne la sérénité à l'âme humaine et l'invite à réfléchir sur l'infini de la nature.
Mais dans cette douceur et dans cet infini il y a toujours la mort qui surveille l'être humain.

C'est tout ce que j'ai pu écrire après ton départ qui nous laisse amputés.

Sur l'écrit.