Il est un endroit, si lent et délicieux, où portée par l'écume l'encre des poètes se dilue. Un endroit magnifié, au sombres heures de la nuit, par le reflet agité des candélabres immobiles.
"Dans le sentier aux herbes engourdies où nous nous étonnions, enfants, que la nuit se risquât à passer, les guêpes n'allaient plus aux ronces et les oiseaux aux branches." René Char, "Fureur et Mystère"