À la demande de l'auteur de « Ramuntcho » et de « Pêcheur d’Islande », sa sépulture et « la demeure des aïeules » ne sont pas admises au public.

Ce poème est adressé à une femme, se prénommant Laure, d'où l’acrostiche pour chaque strophe, ainsi que pour le titre. Il comporte six strophes, chacune traitant d'une partie du corps de cette femme.
Il se compose d'alexandrins, chacun divisés en deux hémistiches. J'ai souhaité conserver une forme stricte de versification pour chaque strophe :
AB
AC
BB
DC
DB

Je ne peux me départir d'une impression de plate niaiserie de collège en relisant ce texte. Vos avis ?

Peut-être parce qu'elles sont rares dans ma région, à l'altitude où je vis,
les chutes de neige ont toujours exercé sur moi une grande fascination.

À Mogador.

Quatrains d'alexandrins.

Tiré du Recueil des Vents.

L'alphabet peut-il résumer un statut… ? Bonne question…

Un lieu de paix et de zénitude.

… un monde de couleurs.

Une épave, un doris échoué, abandonné sur la grève près d'Erquy, inspira ce poème.

L'homme et le progrès… Il y aurait trop à dire !

Comme souvent, j'écris "comme on purgerait des vipères" comme disait Murat… Dans un mode auto-pilote. Et quand la musique s'arrête, le sens ne suit pas forcément.
Le thème de l'oubli est quand même ressorti inconsciemment, l'Alzheimer m'angoisse, et donc ça ressort dans ce texte. Merci de le lire avec indulgence.

Sans commentaire.

Au détour d'une promenade, la mélancolie d'un de ces hameaux abandonnés qui ponctuent la campagne bretonne…

Le vécu, la réalité, sont contraires à nos rêves et nos désirs ; ils pourraient pourtant nous laisser l'essentiel : la conscience de ce que l'on est indépendamment de la notion de bien et de mal.

Notre inconscient parfois effleure la conscience…

Voilà un sonnet que j'ai écrit pour un ami qui est maçon, daltonien…
et dont la véritable passion est la peinture.

Sonnet.

Tandis que les sens prennent le pouvoir, les corps traduisent en mouvements, les esprits en pensées et en actes leurs forces animales…