Hommage à « Romance du vin » de Émile Nelligan. J'essaie d'aller un peu plus loin que de dire que je suis triste, sans avoir la prétention d'être aussi bon en images que lui. En même temps, je dis merci à une amie à moi qui m'a dit que je lui faisais penser à Nelligan.
L'histoire d'un début de journée dans un village en forêt. souvenirs partagés d'enfants riant sur le chemin de l'école. C'était la fin des années 1950 en forêt de Sologne.
Page du journal de bord d'un mousse. Pour vous lecteur, Connaissez-vous bien, ces grands rouleaux d’écumes ? Qui, bobines bavantes, nous roulent sur nous-mêmes, et rouillent nos regards, quand s'écrit l'impossible aux pages du journal.
La pluie en Ardèche est toujours la bienvenue... Les nappes phréatiques sont au plus bas... Et le Rhône est si beau même sous l'ondée, qu'il ne peut qu'inspirer.
Pour répondre par un clin d'oeil à un forum sur la géniale invention du surréalisme en poésie. Et pour être surréaliste, ne faut-il pas avoir été dada ?
