Lorsque le temps s'écoule sans qu'on l'ait vu passer et que date à venir est déjà dépassée, on écrit des vers libres pour se faire pardonner.
Inondation, un monde personnel se perd.
Contemplation lunaire.
Le travail n'est pas une charge, mais le moyen pour l'homme, depuis la nuit des temps, de se socialiser, de s'insérer, de trouver une place dans le monde et de donner un cadre, sinon un sens, à sa vie. Depuis la nuit des temps...
Jouer c'est le travail des enfants, le quotidien des files jouxte le nôtre, tandis que des soldats soldatent...[L'auteur de ce texte est Isfranco (qui nous l'a gentiment offert lors de son départ d'Oniris)]
Variations sur les saisons et la mémoire.
La traite des êtres humains : rien de nouveau sous le soleil.
Exclu du travail.
Quand le malheur s'abat sur l'homme, il n'est plus d'ennemi mais seulement des bonnes volontés pour préserver la vie.
Accroche à ton bras un morceau de chiffon rouge.
Un hommage aux éboueurs, un métier très difficile, considéré comme dégradant.
L'exploitation des enfants, de l'aube aux ténèbres de la nuit...
À Julien Gracq.
Un univers à creuser.
C'est que que parfois on travaille du chef aussi :)
Un métier particulier celui de chroniqueur du temps passé.
Travail, nature et terre. Éloge des mains.
... de me laisser tranquille.
De la sensualité, de la musique et de sa résonance dans l'âme et le corps humain.
La ville étend comme la forêt des cathédrales et des ombres...
