Le jeu des interdits et l'imagination.

Le ciel est une toile où Dieu,
De Sa haute et sublime verve,
Peint ce que le Poète observe
Et jette l'éden en ses yeux.

Je regarde et écoute un fameux concertiste, et rêve que je suis doué du même talent ; je m'émerveille... et les vers de ma "gérardine" tentent de vous séduire.

Poème librement inspiré du tableau « Les Adieux » (Umberto Boccioni, 1911)

Réflexions.

Pour vous, j'oserai les mots que l'on ne dit…

Un poème simple qui redit des choses que l'on a dites mille fois, peut-être, mais ça vaut le coup de les redire, malgré les tergiversations des gens qui cherchent les choses plus à la mode.

Toute bête sur Terre a son utilité comme tout ce qui pousse sur elle et sous elle…

Quel est donc cet astre étrange qui s'invite au voyage ?...

Effets de la saison et du confinement
Ou simplement humeurs de ma génération.

Mon premier sonnet, soyez indulgents.

Bien du temps a passé, le Maure est vaincu, la paix règne en l’Espagne, le Cid a vieilli...

Me souvenant, lors d'une balade à la "Fontaine de Vaucluse", d'un monsieur qui vendait... ses poèmes à l'unité, j'eus envie de me mettre dans sa peau. J'écrivis pour cela un maillet.

Sauf, peut-être, sur lui-même...

Un soir de 1989 en Allemagne.

Sonnet d'un jeune homme qui s'est mis à l'écriture poétique pour épancher sa détresse affective suite à une rupture amoureuse.

Une longue vie de bonheur qui ne saurait s’arrêter.
Faut-il s’en réjouir ? Faut-il s’en attrister ?
Prendre conscience que nos flambeaux ne servent plus à rien et se transforment en boulet !

En cette période triste où l'humain confiné rumine son ennui, j'ai voulu mettre une note de fraîcheur et d'optimisme avec ma poésie...

Every saga ends
Saga Norén, Länskrim, Malmö

L'arpège de mon encre où le vent vient gémir.

J'ai écrit tant de lignes pour Maman ; voici les premières pour Papa. Il partit à 67 ans… Six ans plus tard sa chère femme le rejoignit à… 67 ans.
Il était du genre silencieux, mais pour les autres criant d'ardeur, de solidarité… Les « 3 huit » lui avaient fait perdre le sommeil ; il dort depuis, à jamais !