Un jour on m'a dit : "Tôt ou tard tu laisseras la vie derrière toi, donc danse, souris, vis pour quand ce jour arrivera tu partiras heureux d'avoir vécu."
Après lecture d'un sonnet sur Venise, j'ai ressenti l'envie d'y répondre par le quinzain suivant quelque peu "sensuel" écrit après un très court séjour dans la Sérénissime...
En pensant à cette citation de Gustavo Adolfo Bécquer : "Tant qu'il y aura des yeux reflétant les yeux qui les regardent ; tant qu'une lèvre répondra en soupirant à la lèvre qui soupire ; tant que deux âmes pourront se confondre dans un baiser, il y aura de la poésie !"