Alors que je déambule dans le village de mon enfance où je n'étais pas revenu depuis longtemps…

Bon appétit bien sûr !

La chanson française était la vedette dans beaucoup de ports du monde.

Grain de sable dans la mécanique bien dopée... euh !... huilée...

We are scanning the scene in the city tonight
We are looking for you to start up a fight
There is an evil feeling in our brains
But it is nothing new you know it drives us insane
Running, on our way hiding
You will pay dying
One thousand deaths
Running, on our way hiding
You will pay dying
One thousand deaths
Searching,
Seek and destroy

Metallica – "Seek & Destroy"

Écrit à l’occasion de la quinzaine de la Pléiade.

“Un rond pas tout à fait clos finissant par un trait horizontal” (La disparition)

Nous ne serions qu'une vague à la surface de l'océan, mais aussi dans un certain sens, l'océan lui-même.

Jeune je naviguais.

À l'heure d'Instagram, les moments sont aussi capturés en mots.

Coup de pêche.

Je vais m’exercer seul à ma fantasque escrime,
Flairant dans tous les coins les hasards de la rime,
Trébuchant sur les mots comme sur les pavés,
Heurtant parfois des vers depuis longtemps rêvés.

Baudelaire

Maillet.

Lorsque je reste immobile, je tangue, je tangue.

Parce que je hais l'été.

Dans un roman inachevé d'Henri Calet "Peau d'ours", il y a un passage très émouvant et surtout cette jolie formule finale qui m'a souvent trotté dans la tête :
"Ne me secouez pas. Je suis plein de larmes."

J'ai eu envie d'écrire de petites choses à partir de ces deux petites phrases et c'est in fine devenu un véritable exercice de composition. Et un hommage.

À ceux qui me demanderont pourquoi le titre, je répondrai "pourquoi pas ?".

Un pastiche adoubé par le pastiché lui-même.
Qu’il soit ici remercié pour ses conseils, son humour et sa générosité.

Le temps est arrivé, ne pas reculer surtout, bien négocier l’entrée dans la dernière ligne droite…

À nos anciens, et à ceux que nous serons bientôt…

Bien que l'utilité du moustique m'échappe, j'aime prendre fait et cause pour les animaux mal-aimés, comme le corbeau nettoyeur de nos routes, et le serpent (bien qu'ayant été mordu enfant)…

La hantise de l'Homme est de se retrouver seul face à lui-même.

Acrylique sur toile. Régis Loretti.