Le martinet noir (à ne pas confondre avec les hirondelles) a ceci d'extraordinaire qu'en dehors des périodes de nidification il ne se pose jamais. Son habitat est… aérien !
Tous ces fruits gorgés d'eau dont le nectar explose Dans la bouche goulue où les lèvres s'exposent À l'ivresse infinie des repas en plein air On discute souvent en reprenant un verre
Francis, ton fantôme rôdait dans la blanche chaumine où je suis né. Le jour de ma naissance, l'oncle Émile pleura quand mes parents lui annoncèrent que je m'appellerais Francis en mémoire de son fils unique que la Grande Guerre faucha.
Un quasi premier poème que je ne savais dans quelle catégorie ranger. Après le refus en catégorie poésie classique (je sais à présent pourquoi) je le repasse en poésie contemporaine. Il parle du temps qui passe, sans s'arrêter, comme l'eau du gave.