Trois versions d'un poème, pas forcément liées (donc à lire séparément... ou pas...), du premier au dernier jet.

Elle souffle.

Je t'aime, je te fuis, et que valse la vie.

Un coin de voile qui se soulève
sur un peu de ciel bleu.
Un festival de lumière, de sons et d'images
subliminales prenant
leur envol le long des vers...

La loose.

Face au massacre
Des sacrifiés
Au soleil levant
...

Touches de sensualité : sans les yeux.

Poésie libre.

Du fond de l’eau je regarde le ciel, je rêve que je suis mort, mais j’étais un enfant.

✽ Pourquoi je bois ? Pour pouvoir écrire de la poésie... ✽ JM

Souvenirs de fête.

Sans fin…

Quand l'écho résonne et retentit...

« Certaines nuits mon cœur craque comme le tonnerre
Je ne sais pas pourquoi il n’explose pas
Alors que tout le monde dans cette ville puante a un pied dans la tombe »

Tom Waits

"Nous sommes dans l'inconcevable, mais avec des repères éblouissants".

René Char

Une plongée dans le regard.

Touches de sensualité : "Lisières".

Je t'adore à l’égal de la voûte nocturne,
Ô vase de tristesse, ô grande taciturne,
Et t'aime d'autant plus, belle, que tu me fuis,
Et que tu me parais, ornements de mes nuits,
Plus ironiquement accumuler les lieues
Qui séparent mes bras des immensités bleues.
Charles Baudelaire

Marchécrire.