Après « Écaille » et « Éclipse » voici venu avec fracas le temps des « Éclats ». Si chaque homme est une guerre civile, chaque guerre est une ignominie tant elle peut s'avérer révélatrice d'une certaine idée de l'humanité.
Entre écueil et écaille, il existe toujours un jardin secret où la rosée posera de délicates gouttelettes sur les toiles d'araignées… araignée… quel drôle de nom… pourquoi pas libellule ou papillon…
On ne m’atteindra plus, on ne franchira plus ce cercle de lumière. J’appartiens pour toujours au domaine des fées. La région du cœur – Fernand Dumont (1945)