Petit portrait d'effondrement.
Pas de réponse.
Soyons sérieux.
Article dans Le Monde : urne funéraire d’occasion + propos entendus sur les vide-greniers du dimanche où tout se vend pour quelques sous = poésie de rue.
Ce que le vent…
Comme un souffle dans ma tête.
Il est invisible, et pourtant…
Peut-être un titre en jeu de mots, et ensuite la légèreté sur des sabots de plomb…
Ederlezi de Ladaniva.
« Seul est grand celui qui transforme la voix du vent en un chant que son propre amour aura rendu plus doux. »Khalil Gibran
Oui s'il suffisait d’écrire pour faire taire nos peines.
Je ne sais plus.
De tout.
In memoriam.
Une rencontre libellule…
À l'écoute d'une artiste peintre.